Le "Museo didattico della Seta di Como" a organisé son «Second concours pour dentelle aux fuseaux», ayant pour thème une ancienne planche à impression appartenant à la collection du musée. Ce concours, ouvert aux dentellières des pays de la Communauté européenne et de la Suisse, prévoyait la réalisation d´une oeuvre aux fuseaux, en soie. | Le 29 juin 2007, le jury invité par Carlotta Bianchi, composé de Mesdames Ursula Karbacher, du musée de "San Gallo"
(Suisse), Anna Michenzi, professeur de dessin textile (Italie), Teresa Pietro Gonzales, monitrice de dentelle (Espagne)
Mariangela Montorfano, monitrice de dentelle et dessin pour dentelle (Italie),
présidé par Claudette Bouvot, monitrice de dentelle, dessinatrice et auteurs de livres,(France),
s'est réuni à Como pour départager les 14 pièces présentées.
Le jury sera invité à participer à l´inauguration de l´exposition, prévue pour le 27 septembre, avec la déclaration du vainqueur et des oeuvres primées. |
Autour du President du musée, Monsieur Giovanni Orsenigo, membres du jury et organisateurs posent pour la postérité... | L'entrée du musée est actuellement difficile à trouver (travaux en cours), mais une fois à l'intérieur, on découvre de nombreuses machines (la plupart ayant appartenues à des usines de soieries de Como) ayant servi au travail de la soie. |
La boutique du musée où l'on peut encore acheter de grosses bobines de soie qui font réver les dentellières. | Etranges et très décorées, ces cuves cylindriques destinées à peser la soie. |
On se retrouve le soir autour d'une bonne table avec vue sur le lac de Como. | Le lac qui sert aussi de piste pour les hydravions. |
Que regarde Claudette dans ce beau miroir ? | De la dentelle, des centaines de dentelles anciennes bien cachées dans les tiroirs du musée municipal d'archéologie, situé dans le palais Giovio de Como |
Mariangela Montorfano nous a confié son carnet d'apprentissage sur lequel elle collectionnait ses premières oeuvres en dentelle. | Chaque exercice fini et collé dans le carnet recevait l'estampille de la maîtresse. |
L'élève pouvait ensuite passer un nouveau cap (oui, cap, mais pas C.A.P. !) | Après plusieurs longues années de travail et d'apprentissage, la dentellière pouvait enfin travailler pour son compte... ou pour son plaisir. |